היום בו נפל נסראללה

L’armée a par ailleurs annoncé avoir tué Mohammed Ali Ismaïl, présenté comme le commandant de l’unité de missiles du mouvement armé dans le sud du Liban, et son adjoint, Hossein Ahmed Ismaïl, dans des frappes dans la région de Tyr, dans le sud du Liban.

De gauche, de droite ou du centre, ils étaient tous là, vendredi, réunis sous le même toit. Le chef du gouvernement veut écouter ses ministres et emprunter leurs meilleures idées avant d’écrire sa feuille de route.

L’armée israélienne a bombardé vendredi le quartier général du Hezbollah, dans la banlieue sud de Beyrouth, faisant d’importants dégâts. Une source proche du mouvement chiite a indiqué que Hassan Nasrallah allait « bien », mais des doutes persistent.

Depuis plusieurs mois, ce père de famille se confiait à franceinfo sur sa vie avec la maladie de Charcot et sa lutte pour l'autorisation du suicide assisté et de l'euthanasie. Il est mort, mardi, sans avoir pu en bénéficier.

L'armée israélienne a annoncé samedi avoir tué, dans une attaque aérienne, le commandant de l'unité des missiles du mouvement armé proche de l'Iran ainsi que plusieurs autres chefs.

De familles politiques différentes, ils étaient tous là, vendredi, réunis sous le même toit. Le chef du gouvernement veut écouter ses ministres et emprunter leurs meilleures idées pour écrire sa feuille de route.

LA CHRONIQUE DE MICHEL RICHARD. Il paraît que la survie de Michel Barnier dépend du Rassemblement national. Mais sait-on que ce droit, Marine Le Pen le doit à la gauche… ?

Depuis plusieurs heures samedi, la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah libanais, est visée par d'intenses bombardements israéliens.

Le Vendéen ne semble pas vouloir faire de concessions idéologiques, malgré les réserves du bloc central. L'homme mise sur le soutien de l'opinion.

Depuis plusieurs heures ce samedi, la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah libanais, est visée par d’intenses bombardements israéliens.

REPORTAGE - Les mois précédant les Jeux olympiques, des milliers de SDF et de migrants ont été forcés de quitter la capitale. Les festivités étant terminées, ils reviennent progressivement.

La banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah libanais, est visée par d'intenses bombardements depuis vendredi soir. Des centaines de familles entassées dans des voitures ont fui le secteur en catastrophe, et le mouvement islamiste dément les "allégations" d'Israël sur la présence de dépôts d'armes dans les bâtiment civils près de Beyrouth.

L’Etat hébreu a mené, vendredi, d’importants bombardements sur la banlieue sud de Beyrouth et a déclaré, samedi matin, pouvoir affirmer que le dirigeant du mouvement chiite pro-iranien depuis trente-deux ans y avait été tué.

Après un bombardement nocturne intense de la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah, les gravats de dizaines d’immeubles de la capitale libanaise étaient encore en feu, ce samedi 28 septembre.

Hassan Nasrallah était une cible de choix pour Israël, dont l’armée s’est appliquée ces derniers mois à éliminer les têtes du Hezbollah.

Après un bombardement nocturne de la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah, l'armée israélienne a affirmé ce samedi avoir "éliminé" le chef du mouvement, Hassan Nasrallah.

Après avoir massivement bombardé la banlieue sud de Beyrouth, vendredi, Israël a annoncé la mort du leader du mouvement chiite. Le Hezbollah, sans confirmer sa mort, a reconnu que le « contact » était « perdu ». Selon un bilan provisoire des autorités libanaises, l’attaque israélienne a fait six morts, 91 blessés et détruit des dizaines d’immeubles.

L'armée israélienne a annoncé ce samedi avoir tué le chef du Hezbollah libanais, Hassan Nasrallah, dans une frappe la veille sur le QG du mouvement islamiste armé à Beyrouth.

Le chef du gouvernement Michel Barnier ce samedi 27 septembre a réagi à l'annonce par l'armée israélienne de "l'élimination" du chef du Hezbollah.

L’Etat hébreu a annoncé, samedi, que le leader de la milice armée chiite pro-iranienne, fer de lance de la résistance à Israël et véritable Etat dans l’Etat au Liban, a été tué par une frappe israélienne sur son fief de la banlieue sud de Beyrouth.

L’armée israélienne a bombardé vendredi le quartier général du Hezbollah, dans la banlieue sud de Beyrouth, faisant d’importants dégâts. Une source proche du mouvement chiite a indiqué que Hassan Nasrallah allait « bien », mais des doutes persistaient.

L’armée israélienne a bombardé vendredi le quartier général du Hezbollah, dans la banlieue sud de Beyrouth, faisant d’importants dégâts. Une source proche du mouvement chiite a indiqué que Hassan Nasrallah allait « bien », mais des doutes persistaient.

Après un bombardement nocturne de la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah, l’armée israélienne a affirmé ce samedi avoir "éliminé" le chef du mouvement, Hassan Nasrallah.

Au terme d’un raid de bombardements massifs à Beyrouth, l’État hébreu a indiqué samedi matin avoir « éliminé » le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah. Le mouvement chiite n’a pas encore confirmé la disparition de son leader. L’opération israélienne a fait au moins six morts et détruit des dizaines d’immeubles dans la capitale libanaise.

Un rapport d’expertise doit être rendu dans les prochains jours, suite à la découverte, fin mars, du crâne du petit Émile. Rencontre avec la femme qui a trouvé ses ossements lors d’une randonnée.

Au terme d’un raid de bombardements massifs à Beyrouth, l’État hébreu a indiqué samedi matin avoir « éliminé » le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah. Le mouvement chiite n’a pas encore confirmé la disparition de son leader. L’opération israélienne a fait au moins six morts et détruit des dizaines d’immeubles dans la capitale libanaise.

Au lendemain d’une série de violentes frappes ciblant le leader du Hezbollah Hassan Nasrallah, dans la banlieue sud de Beyrouth, la milice a elle aussi annoncé la mort de son dirigeant.

La milice chiite a annoncé, samedi en début d’après-midi, que son leader avait bien été tué à Beyrouth, la veille. Selon un bilan provisoire des autorités libanaises, les frappes de l’armée israélienne ont tué plus de 700 personnes depuis lundi.

Le tout-puissant chef du Hezbollah, qui faisait l'objet d'un véritable culte de la personnalité parmi ses partisans, a été tué vendredi dans une frappe israélienne à Beyrouth.

Le chef du mouvement libanais Hezbollah a été tué dans une frappe israélienne menée sur son QG dans la banlieue sud de Beyrouth.

ENTRETIEN - Pour David Rigoulet-Roze, chercheur à l'Iris, le chef du Hezbollah libanais tué samedi «n'a pas réellement d'équivalent en termes de légitimité politique et religieuse et il va être sans doute être difficile de le remplacer».

Âgé de 64 ans, le chef du mouvement islamiste depuis 1992 faisait l’objet d’un véritable culte de la personnalité parmi ses fidèles. Il a été tué, vendredi, par une frappe israélienne.

Après les émeutes et les destructions massives du mois de mai en Nouvelle-Calédonie, le huis clos entre loyalistes et indépendantistes reste tendu. Tout au sud de la Grande Terre, le Mont-Dore cristallise aujourd’hui toutes les fractures du "vivre-ensemble".

La mort du leader de la milice chiite dans une frappe israélienne n’a pas éteint les craintes d’une offensive terrestre au Liban. Bien que supérieure au Hezbollah sur le plan militaire, Tsahal ferait face à un risque d’enlisement.

Au lendemain d’une série de violentes frappes ciblant le leader du Hezbollah Hassan Nasrallah, dans la banlieue sud de Beyrouth, la milice a confirmé la mort de son dirigeant.

Le Hezbollah a confirmé que son leader avait bien été tué à Beyrouth dans un bombardement israélien et dit avoir visé en riposte la colonie de Qatzrin, sur le plateau du Golan. Abbas Nilforoushan, chef adjoint des opérations des gardiens de la révolution d’Iran, a également été tué dans l’attaque israélienne.

Israël a annoncé ce samedi 28 septembre avoir tué le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah dans une frappe la veille sur la banlieue sud de Beyrouth, ce que le mouvement armé libanais a confirmé. Les autorités européennes recommandent aux compagnies aériennes d'éviter les espaces aériens du Liban et d'Israël.

Le Hezbollah, organisation terroriste libanaise soutenue par l’Iran, a confirmé samedi la mort de son leader Hassan Nasrallah dans une frappe menée vendredi par Israël. D’après le guide suprême iranien Ali Khamenei, « toutes les forces de la résistance » sont « aux côtés du Hezbollah ».

Après l’élimination du chef du Hezbollah dans les bombardements de l’armée israélienne, le Liban est sous le choc. Nul ne sait comment vont réagir la milice chiite et l’Iran.

RÉCIT - S’il n’y a pas de chiffres officiels, le problème serait très répandu à en croire la multiplication des témoignages. Le chef du service de psychiatrie et d'addictologie de l'hôpital Paul Brousse, à Villejuif, évoque même «un secret de polichinelle».

Israël a annoncé ce samedi 28 septembre avoir tué le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah dans une frappe la veille sur la banlieue sud de Beyrouth, ce que le mouvement armé libanais a confirmé. Les autorités européennes recommandent aux compagnies aériennes d'éviter les espaces aériens du Liban et d'Israël.

Suivez avec nous les dernières informations sur le conflit israélo-palestinien en ce samedi 28 septembre, alors qu’Israël continue ses attaques contre le Hezbollah au sud du Liban

De nombreuses figures socialistes, opposées à la direction d'Olivier Faure et à l'alliance avec LFI, se sont retrouvées samedi dans l’Aude, aux «Rencontres de la gauche» de la présidente de la région Occitanie. Une première étape, notamment vers le prochain congrès du parti en 2025.

Le Hezbollah a confirmé que son leader avait bien été tué à Beyrouth dans un bombardement israélien. Un membre des gardiens de la révolution d’Iran et un haut responsable du Hezbollah ont également été tués dans cette frappe de l’armée israélienne, qui a de nouveau bombardé la banlieue sud de Beyrouth, samedi.

Boualem Sansal vient de publier un essai Le français parlons-en ? (éditions du Cerf), plaidoyer pour Notre-Langue.

L’assassinat du très puissant dirigeant du mouvement chiite libanais est une victoire majeure pour Israël, et un camouflet pour «l’axe de la résistance» piloté par l’Iran. Et cela fait entrer le conflit dans une dangereuse nouvelle dimensio

L'escalade s'intensifie au Proche-Orient où l'armée israélienne continue son offensive au Liban, tout en interceptant les frappes qui lui sont destinées. Voici ce que l'on sait.

Le chef du Hezbollah libanais a été tué vendredi soir à Beyrouth par une frappe israélienne. Le premier ministre libanais par intérim, Najib Mikati, a souligné le danger planant sur son pays après cet assassinat.

Jean-Noël Barrot s'est entretenu samedi après-midi avec Najib Mikati, premier ministre du Liban, après la mort du chef du Hezbollah libanais dans une frappe israélienne.

Le Hezbollah a confirmé que son leader avait bien été tué à Beyrouth dans un bombardement israélien. Un membre des gardiens de la révolution d’Iran et un haut responsable du Hezbollah ont également été tués dans cette frappe de l’armée israélienne, qui a de nouveau bombardé la banlieue sud de Beyrouth, samedi.

Israël a annoncé ce samedi 28 septembre avoir tué le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah dans une frappe la veille sur la banlieue sud de Beyrouth, ce que le mouvement armé libanais a confirmé. Les autorités européennes recommandent aux compagnies aériennes d'éviter les espaces aériens du Liban et d'Israël.

De retour de New York, le premier ministre israélien a confirmé l'élimination du «pivot de l'axe du mal iranien», «une étape nécessaire pour changer l'équilibre des pouvoirs au Moyen-Orient».

Israël a tué vendredi le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, dans un bombardement au sud de Beyrouth. Sa mort fait craindre, plus que jamais, un embrasement régional.

Suivez avec nous les dernières informations sur le conflit israélo-palestinien en ce samedi 28 septembre, alors qu’Israël continue ses attaques contre le Hezbollah au sud du Liban

Israël a tué vendredi le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, dans un bombardement au sud de Beyrouth. Sa mort fait craindre, plus que jamais, un embrasement régional.

Le Premier ministre israélien a réagi samedi à l’élimination par Tsahal d’Hassan Nasrallah, le chef du Hezbollah libanais. « Nous avons réglé nos comptes », a-t-il lancé.

La mort du leader de la milice chiite dans une frappe israélienne n’a pas éteint les craintes d’une offensive terrestre au Liban. Bien que supérieure au Hezbollah sur le plan militaire, Tsahal ferait face à un risque d’enlisement.

Cette déclaration du président américain survient alors que Benjamin Netanyahou s’est dit déterminé «à continuer de frapper» ses «ennemis» après l'élimination du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé ce samedi 28 septembre qu'Israël est "déterminé à continuer de frapper (ses) ennemis".

Dans le quartier chiite de Khandak Al-Ghamik, les habitants naviguent entre colère et sentiment d’abandon. La violence de la mort du chef du Hezbollah a créé une onde de choc au-delà de la communauté chiite.